Aujourd’hui fut une journée plutôt sympathique, plein de petits messages de mes amis et d’inconnus, et oui au cas où vous ne le sauriez pas, le 14 Mars c’est la Saint Math’ ! Et puis hélas c’est une date bien plus célèbre pour une autre raison… Alain Bashung nous quittait il y a 4 ans en ce jour de Ste Mathilde. Ironie du sort, c’est sensiblement cette année là que je commençais à tomber amoureux de lui. Et oui, je fais partie des enfants de la génération 80 qui ont détesté Bashung car pour nous c’était « Vertige de l’Amour » et autre « Gaby oh Gaby », la musique relou des soirées alcoolisées de nos parents. Donc personnellement, j’ai refusé Bashung dans ma vie jusqu’à ce que la maturité m’enlève mes oeillères d’inculte !
Depuis je me suis rattrapée, avidement et j’ai notamment dévoré ses sublimes textes. Et s’il ne faut en choisir qu’un, en ce jour de souvenir, ce sera « La nuit je mens ». Ci-dessous une captation de son dernier concert à l’Olympia, tournée qu’il fit déjà très malade et dont l’émotion est littéralement palpable…
La nuit je mens, effrontément, j’ai dans les bottes de montagne de questions, où subsiste encore ton écho…