il attend que quelqu’un vienne.
Une tête farouche et des mains expertes
prennent leur première pêche dans leurs filets.
Le poème est invisible dans le miroir
mais première touche des larmes
Éluard.
Première touche
elle nous a donné un poème rouge
dans une absence nouvelle de la mort.
***
Jón frá Pálmholti (né en 1930) – Traduit de l’islandais par Thór Stefánsson et Lucie Albertini