Ce que j'ai vu dans les sculptures de Shih Chieh Huang, ce n'est pas la technologie, mais le corps, la sensualité, voire la sexualité des membres en plastiques qui gonflent et se dégonflent. Ou une danse.
La seule vidéo que j'ai trouvée montrant l'oeuvre en action en conservant les cliquetis des machines (au lieu de les recouvrir d'une musique d'ambiance qui brise l'expérience sensible) est sur Viméo. Le plus de cette exposition au Yerba Buena Center for the Arts: l'ajout des archives de l'artiste montrant des croquis techniques, mais aussi les dessins et les réflexions qui viennent nourrir une oeuvre.