Voici un extrait de mon billet publié sur Sympatico.ca dimanche dernier.
Hommage aux mères-courage
Je vais me faire traiter de sexiste avec ce titre, mais j’assume. Surtout que dans les faits, ce sont plus des mères que des pères qui se sont confiées à moi, que j’ai croisées, que je connais. Je ne dis pas que les hommes sont absents, je pense même revenir sur le sujet dans un autre billet, mais aujourd’hui, quelques jours après le 8 mars, je souhaitais parler des premières. De leur rendre hommage. Souligner leur courage. L’expression des mères-courage m’est venue il y a déjà plusieurs années, au retour d’un épisode particulièrement difficile, alors que ma fille venait d’être hospitalisée pendant trois semaines. Encore ébranlée pour cette expérience troublante, cette expression s’était imposée en passant à toutes les mères rencontrées pendant cette période.
La vie nous réserve de belles et grandes surprises. Et encore plus de défis. La maternité transforme nos corps, nos esprits et nos cœurs. Il y a des hauts et des bas et nos forces morales sont parfois mises à l’épreuve face aux dangers et à la souffrance. Une journée dans la vie de tous les parents demande beaucoup d’énergie, quand il y a des rendez-vous, des appels, des thérapies et des questionnaires à remplir, il en manque parfois.
- Hommage aux mères-courage! Crédit photo Julie Philippon
Être parent demande énormément de courage, je n’en connais pas un qui pourrait me dire le contraire. Avoir un enfant malade ou différent en demande encore plus. Savoir son enfant condamné ou encore le perdre dépasse tout ce qu’on peut imaginer. Malheureusement, ce n’est pas parce que cela est injuste et inacceptable que cette réalité n’existe pas.
Ont-elles le choix ? Méritent-elles une certaine reconnaissance ?
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Pour lire la suite, je vous invite à cliquer sur le lien ici Recevoir des commentaires me fait toujours plaisir, ne vous gênez pas.
Mon amie Mylen Vigneault a aussi écrit un très beau texte sur le même sujet que vous pouvez lire ici. D'Ailleurs, il circule un peu partout dans la francophonie, mais trop souvent, on oublie de nommer l'auteure. Elle est aussi la première personne à m'avoir donnée une chance du côté de l'écriture. Alors, chapeau Mylen et surtout, merci!