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Une contribution de Gilbert.
Une belle histoire d’amour dans un film d’action avec de beaux décors.
On y va pourquoi : C’est un film dont le titre intrigue avec une affiche prestigieuse. On aime les films français, d’espionnage et d’action. La production Europa Corp. (Luc Besson) nous assure d’une bonne signature musclée. .
Le Synopsis : Grégory Lioubov, un officier des services secrets russes est envoyé à Monaco afin de surveiller les agissements d’un puissant homme d’affaires. Dans le cadre de cette mission, son équipe recrute Alice, une surdouée de la finance. Soupçonnant sa trahison, Grégory va rompre la règle d’or et entrer en contact avec Alice, son agent infiltré. Naît entre eux une passion impossible qui va inexorablement précipiter leur chute.
Les principaux acteurs : Jean Dujardin (Grégory Lioubov/Moïse), Cécile de France (Alice), Tim Roth (Rostovski), Emilie Dequenne (Sandra)
L’avis de Gilbert : L’histoire commence comme un thriller financier, puis continue comme un règlement de comptes entre Mafias Russes pour se finir en une histoire d’espions doubles Américains et Russes. Comme d’habitude j’ai eu du mal à comprendre mais en m’appliquant j’ai été tenu en haleine de bout en bout. Se déroulant entre Monaco, Cannes et Nice, le film nous fait visiter la Côte d’Azur qui nous ensoleille avec ses paysages et ses villas aussi improbables que somptueuses. Mais il y a Jean Dujardin qui peaufine dans ce film son image de « french lover » et je pense que plus d’une d’entre vous, Mesdames, aimeriez l’avoir à votre bras (même probablement un peu plus). Cécile de France toute en finesse et beauté m’a donné à voir, probablement, l’une des plus belles scènes d’amour du cinéma. Tous les deux sont parfaits et tous les autres rôles à la hauteur. Je vous conseille ce film qui allie suspense, action, grâce, classe et beauté. Si, lors d’un passage à Nice, vous étiez tenté par l’hôtel Gounod (qui existe et dont la façade est classée), sachez qu’il est en cours de rénovation parce qu’il en a bien besoin et que la chambre n’est qu’un décor.