Alpiq du nez

Publié le 13 mars 2013 par Kalvin Whiteoak

Franchement, deux années de suite devoir passer des « corrections de valeur » pour plus d’un milliard de francs, c’est pas très professionnel. Ou disons que le choix des actifs ainsi amortis s’est révélé plutôt discutable.

Le « grand groupe » valdo-soleurois, essentiellement en mains publiques, et donc financé par les contribuables-consommateurs, montre que vendre et produire de l’électricité en Suisse, il sait faire, mais qu’investir à l’étranger dans n’importe quoi n’importe comment, ça coûte cher.

Alors que le prix du courant en gros est actuellement très bas, le consommateur de son côté ne voit pas franchement sa facture baisser. Pire, dans certaines zones reculées elle augmente.

Faut bien boucher les trous et lui faire payer deux ou trois fois les conneries du « management » ou plutôt de ces messieurs je sais tout.

On espère que les démission du CA et les changements d’orientation rendront la firme en question un peu moins arrogante et surtout plus performante. Pas facile de devoir contre son gré sortir du nucléaire à terme, quand en plus on n’y croit pas.