La technique utilisée vise à inonder le site de requêtes afin que celui-ci tombe en panne par surcharge. Il s'agit d'attaques par déni de service distribué (DDoS ). L'ordre a vite été rétabli. A l'heure actuelle, la Russie est soupçonnée mais rien n'est encore sûr. Aucun lien n'est à établir avec les cyberattaques de janvier survenues aux Etats-Unis et provenant de Chine. Les sites du New York Times et du Wall Street Journal avaient été victimes d'inflitrations et non d'attaques DDoS.
Source