Le jour béni où j'aurai fini.

En ce moment, j'ai beaucoup de travail (doux euphémisme).
Je suis légèrement noyée.
Heureusement que j'ai des amies (surtout une, tortionnaire, qui se reconnaitra) qui me poussent au c.. pour que je finisse vite mon manuscrit et que je puisse enfin passer à autre chose.
J'entrevois avec délice ce moment où je serai libérée et où je pourrai

• poser mes fesses 5 mn sans culpabiliser
• aller me balader et, ô rêve absolu, faire du shopping pour le plaisir et non seulement pour acheter du lait croissance et des yaourts "à la nature" (copyright Anton).
• aller nager (c'est la copine tortionnaire qui dit aussi que je me cherche des excuses pour ne pas aller à la piscine)
• organiser mon brunch traditionnel du printemps avec muffins et scones maison
• acheter une nouvelle table de salon
• utiliser mes bons pour un soin du visage et pour un "hammam+massage" offerts par ma mère et une amie chérie pour mon anniversaire (il y a plus d'un mois...)
• dormir
• arrêter de vider le placard à biscuits pour combler l'angoisse de la page blanche
• bloguer plus régulièrement
• enfin travailler sur le projet qui m'empêche de dormir la nuit.

Enfin, vous voyez, ce moment où je tout ira bien.
Je suis sûre que vous aussi vous attendez toujours des jours meilleurs... non ?

Bon, je me remets à bosser, sinon, l'amie tortionnaire va m'envoyer des mails incendaires...