les pas d’enfants et de bohémiens
trouent la neige dure, plus vierge
qu’une sérénade. Mais c’est ça qui est beau,
la blessure incessante
faite à la splendeur.
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János Pilinszky (1921-1981) – Éclats (Szálkák, 1972) – Traduit du hongrois par Lorand Gaspar et Sarah Clair