A n'en pas douter c'est une avancée importante en matière de journalisme automatisé (lien en anglais). Pour autant, cette solution souffre encore de plusieurs problèmes par rapport à l'être humain. On peut douter de la capacité du robot à faire la différence entre information importante et changement anecdotique, à remettre en cause sa source ou encore à apporter une valeur ajoutée à un simple article factuel. Autant d'éléments qui laissent quelques années de tranquilité aux journalistes.
Lundi 11 Mars 2013
On connaissait déjà les robots-journalistes capables d'écrire un compte-rendu de rencontres sportives ou bien d'éditer des vidéos en réunissant des images et des commentaires venus du web. Mais cette fois-ci, les chercheurs du Systems Informatics Lab (ISI) de l'université de Tokyo ont passé un cap supérieur: leur robot travaille en tout autonomie sur le terrain et publie lui-même des petits sujets factuels. Capable de d'explorer son environnement et d'en détecter les changements, il prend des photos avec une caméra embarquée et enrichi son article en posant des questions ou en faisant des recherches sur Internet.
A n'en pas douter c'est une avancée importante en matière de journalisme automatisé (lien en anglais). Pour autant, cette solution souffre encore de plusieurs problèmes par rapport à l'être humain. On peut douter de la capacité du robot à faire la différence entre information importante et changement anecdotique, à remettre en cause sa source ou encore à apporter une valeur ajoutée à un simple article factuel. Autant d'éléments qui laissent quelques années de tranquilité aux journalistes.
A n'en pas douter c'est une avancée importante en matière de journalisme automatisé (lien en anglais). Pour autant, cette solution souffre encore de plusieurs problèmes par rapport à l'être humain. On peut douter de la capacité du robot à faire la différence entre information importante et changement anecdotique, à remettre en cause sa source ou encore à apporter une valeur ajoutée à un simple article factuel. Autant d'éléments qui laissent quelques années de tranquilité aux journalistes.