TF1: Sommaire de « Sept à huit » ce dimanche 10 mars

Publié le 10 mars 2013 par Buzzmedias @buzzmediasnet

Ce dimanche 10 mars à 18h00, Harry Roselmack  présentera un nouveau numéro du magazine « Sept à huit » sur TF1. L’émission proposera notamment une enquête sur les chevaux de la liberté. 

buzzmedias.net vous propose de découvrir le sommaire de « Sept à huit » ce dimanche 10 mars:

- Les chevaux de la liberté: Jusque-là Brian n’avait jamais approché un cheval de sa vie. Désormais, ce prisonnier américain de 38 ans dresse des Mustangs sauvages. Il est l’un des vingt détenus à participer à un étonnant programme de réinsertion mis en place par le centre pénitentiaire de Carson City aux Etats-Unis. Chaque matin, ce prisonnier en fin de peine qui a passé 16 ans en quartier de haute sécurité, prend en charge un cheval et apprend à le dompter. Il faut trois mois pour rendre l’animal docile. Grâce à cette réinsertion par les chevaux, le taux de récidive de ces détenus a diminué de moitié.

- Poupons à adopter: Difficile de ne pas se tromper: ce sont des poupées, mais d’un incroyable réalisme. Elles ne sont pas faites pour les petites filles, mais pour des adultes qui les collectionnent et les traitent comme des enfants. Ceux qui les achètent, des femmes le plus souvent, préfèrent parler d’adoption. Elles reçoivent leurs poupées avec un bracelet de naissance et un certificat de naissance. Ces poupons baptisés « reborn » (de « renaissance » en anglais) arrivent désormais en France. Sophie, une aide-soignante sans enfant, 44 ans, les collectionne : elle a adopté 4 « reborns », au nom de sa passion pour le monde des bébés. Le fils de Julie est adulte, alors elle se consacre désormais à ses poupons. Elle en a déjà 35 et consacre beaucoup d’argent à sa passion : ces créations qui exigent plusieurs semaines de travail coûtent entre 300 et 1500 euros. Son mari est très tolérant face à cette collection, mais elle doit faire face au scepticisme, voire aux critiques de ceux qui trouvent sa passion morbide.

- Le meurtre sans cadavre: C’est l’histoire d’un crime presque parfait. Robert Pichon, un retraité de 61 ans, aurait été tué en septembre 2007, mais son corps n’a jamais été retrouvé. Et pour cause. Ses assassins présumés, un jeune couple de voisins, auraient brûlé son cadavre avant d’en disperser les restes dans un canal des Vosges. Les auteurs présumés du crime auraient pu ne jamais être retrouvés. Sauf qu’Olivier Benoît et sa compagne Maud Tellier ont fini par se livrer aux gendarmes et sont passés aux aveux. Pour leur défense, ils avancent que le meurtre aurait été commis suite à une tentative de viol du retraité sur la jeune femme. Mais pour les enquêteurs, le mobile du crime pourrait être d’ordre crapuleux.

- Croisière des glaces: Jusque dans les années 80, les paysages de l’Antarctique étaient réservés aux explorateurs et aux scientifiques. Aujourd’hui, le pôle Sud est devenu une destination touristique qui accueille 30.000 amateurs chaque année. Sept à Huit a embarqué à bord de l’un des navires de croisière qui emmènent ces voyageurs à la découverte du continent blanc. La navigation est délicate, les dangers nombreux. Il faut slalomer entre les icebergs géants qui peuvent à tout moment se retourner, anticiper des brusques changements de météo, supporter les creux de sept mètres, éviter les fissures dans la banquise, mais le spectacle est grandiose : baleines à bosses, phoques, manchots et la beauté encore intacte du vaste continent antarctique.

- Après la honte: A 7 ans, elle faisait la manche sur les trottoirs de Lyon et Bourg-en-Bresse. Aujourd’hui, Anina Ciuciu, 23 ans, est l’une des plus brillantes étudiantes de la Sorbonne à Paris. Comment cette jeune Rom qui a fui la Roumanie avec sa famille, est-elle devenue première de sa classe en France, comment s’est-elle intégrée malgré les préjugés et les moqueries dont elle était victime ? Dans un entretien avec Thierry Demaizière, elle évoque la honte que ses parents ont toujours ressentie vis-à-vis de leur condition, son enfance dans les camps et ses rêves, de plus en plus réalisables, de devenir un jour magistrate. C’est le portrait de la semaine de Thierry Demaizière et Léo Monnet.Google+