Ça y est. L'idiot que je suis a terminé son histoire pleine de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien. Ou du moins le premier jet.
Le troisième tome d'Ardalia est pour l'instant un peu plus long que prévu : quasiment 190 000 mots, 1 million 137 000 signes. Soit environ la moitié de A Memory of Light, dernier tome de la Roue du Temps de Brandon Sanderson et Robert Jordan.
Pour comparer, le premier tome, Le Souffle d'Aoles, faisait 124 000 mots et le deuxième, Eau Turquoise, 130 000 (394 pages en format 15 x 22 cm).
La période de corrections/révisions va pouvoir commencer. Elle sera longue, mais j'ai déjà fait relire le livre en parallèle de son écriture pour gagner du temps (il ne reste qu'un chapitre à lire pour l'un des correcteurs), et les nouvelles de mon premier relecteur sont rassurantes : pas de chapitre à supprimer ou à réécrire de A à Z.
Etant donné que c'est la première fois que je m'attelle à des corrections aussi longues, je préfère ne pas donner de date de sortie pour le moment.
La prochaine étape sur ce blog sera la présentation de l'image de couverture, signée (je l'espère) Thibaut Desio.