Il ne faudra pas s'étonner de voir de la violence pour garder son gagne-pain ni de lire autant de béni oui oui pour défendre ces patrons voyous jetant des ouvriers à la poubelle au nom de la sacro-sainte distribution de dividendes. Ces ouvriés de Good Year sont venus devant le siège social de leur boutique à Rueil Malmaison pour connaître leur misérable avenir, pas pour jouer à la belote avec les compagnies de CRS. La CRS qui était venue en nombre dès 7 heures du matin, je les ai vu passer en trombe place de la Boule à Nanterre, pour protéger les couilles molles de la direction de Good Year et transformer démocratiquement le quartier en forteresse. Sûr que si ces patrons sans scrupules se comportaient autrement qu'en chiant sur les salariés, il n'y aurait probablement jamais de casses.Mais ce qui m'étonne c'est de voir autant d'admiration pour des sacs à merde comme Maurice Taylor comme on peut le lire dans les commentaires de certains blogs de droite.D'ailleurs je me demande comment réagiront ces fanatiques raëliens du patronat quand ils se retrouveront à la rue pour des raisons économiques après s'être fait lourder la gueule remplie d'aisances d'actionnaires et le dos souillé par les traces de mocassins crottés des membres du conseil d'administration.
Il ne faudra pas s'étonner de voir de la violence pour garder son gagne-pain ni de lire autant de béni oui oui pour défendre ces patrons voyous jetant des ouvriers à la poubelle au nom de la sacro-sainte distribution de dividendes. Ces ouvriés de Good Year sont venus devant le siège social de leur boutique à Rueil Malmaison pour connaître leur misérable avenir, pas pour jouer à la belote avec les compagnies de CRS. La CRS qui était venue en nombre dès 7 heures du matin, je les ai vu passer en trombe place de la Boule à Nanterre, pour protéger les couilles molles de la direction de Good Year et transformer démocratiquement le quartier en forteresse. Sûr que si ces patrons sans scrupules se comportaient autrement qu'en chiant sur les salariés, il n'y aurait probablement jamais de casses.Mais ce qui m'étonne c'est de voir autant d'admiration pour des sacs à merde comme Maurice Taylor comme on peut le lire dans les commentaires de certains blogs de droite.D'ailleurs je me demande comment réagiront ces fanatiques raëliens du patronat quand ils se retrouveront à la rue pour des raisons économiques après s'être fait lourder la gueule remplie d'aisances d'actionnaires et le dos souillé par les traces de mocassins crottés des membres du conseil d'administration.