En ce moment, c’est le minimum syndical. Je n’ai pas le temps de faire plus. Mon mémoire reprend lentement ses droits après n’avoir été qu’une pile de papiers poussiéreux posée sur un coin de mon bureau. Je n’ai pas encore fini Beautiful People de Charles Bock mais ça suit doucement son cours. J’ai un papier de prévu pour cette semaine sur les deux romans d’Olivier Maulin, romans qui valent tout à fait le détour (et c’est très nimiérien) et qui sont parus chez l’Esprit des Péninsules. Je réfléchis à une petite chose sur Gaddis aussi, mais pour beaucoup plus tard.
Je pars aussi une semaine à New York fin avril pour changer un peu d’air. J’ai dans l’esprit d’essayer de faire un petit reportage mi-photographique mi blabla sur les librairies new-yorkaises (celles que j’aurais le temps de hanter en tout cas), faire aussi le plein de bouquins (il y aura là aussi photographies à l’appui) et autres biens de consommation matérialistes (si ce n’était pas un pléonasme).
On reste tranquille, on ne s’excite pas. Mais jusqu’à mai, ça risque d’être assez lent.