4 mars Nombril Tous les matins, de suite après l'ami Ricoré je me jette sur le site de l'ami Fabrice ([email protected]) pour découvrir avec des yeux de gosse devant une vitrine de bonbons, le texte de môa qu'il a choisi dans sa rubrique éphéméride. Et tous les matins, de suite après l'ami Ricoré, je me trouve bon. Et je me demande pourquoi l'ami Ruquier ne m'a pas encore fiévreusement téléphoné pour m'inviter, seul, dans son émission. Peut-être ne sait-il pas que je suis intarissable sur le sujet, môa. En attendant que le jour de gloire arrive, ce qui ne saurait tarder, mes deux amis des slamtin... des saltimb... des slamtimbanques (putain de nom pour une troupe, si je tenais celui, ou celle...) et môa, nous nous produisons devant trois ou quatre spectateurs égarés qui étaient entrés parce qu'il y avait de la lumière, avec la même ferveur que si l'on jouait au Zénith, ce qui ne saurait tarder. Fabrice et son avalanche de mots sonores et trébuchants, dans son monde exotique où si l'on ne possède pas deux ou trois clés on n'entre pas, mais ses chansons de gestes sont si attachantes. Sors de ta bulle funambule ! Eva et son monde poétique, Eva je m'évade au son de ta voix... Et moi, ben c'est moi, vous connaissez !
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