Organiser son temps: le défi du blogueur amateur

Publié le 04 mars 2013 par Homer62 @homer62

Comme d'habitude, je me retrouve confronté au même souci. Depuis mon emménagement en avril dernier, je dispose de beaucoup moins de temps pour moi: entre l'aménagement de la maison et les derniers travaux pour la rendre confortable, le temps passé au travail pour nourrir le foyer, les trajets d'un point A à un point B pour X raisons, le ménage, la bouffe... j'ai à peine le temps de taper un billet de blog, de répondre – tant bien que mal – aux commentaires de mes lecteurs. Alors, lire les billets des copains, j'en parle même pas. Marge et moi n'avons pas eu de moment de détente, genre ciné-resto ou week-end en amoureux, depuis un an.

Pourtant je m'accroche; je parviens à survoler la blogo via certains flux RSS que je reçois par mail grâce à un programme dédié, je suis le fil des tweets qui me citent avec un certain délai de retard, et je lis de temps en temps les billets qui m'interpellent sur la page Facebook du Kremlin des Blogs. Une situation qui saura s'arranger un peu si je me vois un jour pourvu d'un terminal associé: une tablette ou un truc du genre, quelques codes d'accès aux hotspots wi-fi des différents opérateurs et hop, le tour est joué. Les instants à patienter à Arras, pause déjeuner ou d'attente à la gare, seraient occupés entre séries et blogs. La soirée, dédiée à mes tâches quotidiennes dont ,décidément, je ne saurai me départir... Le tout c'est de s'organiser.

Alors, tiens, je vais demander à mes lecteurs qui bloguent une série de conseils, sous la forme d'un commentaire ou d'un billet genre « chaîne », pour répondre à la question: quand blogues-tu? Combien de temps en moyenne par jour en dissociant la rédaction de la lecture? Et d'où blogues-tu?

Ça m'intéresse. Les plus anciens diront que le thème a déjà été abordé, mais loin de ces soucis à l'époque, c'est aujourd'hui que je m'interroge. Quelques conseils ne me feraient pas de mal. Car à ce rythme, je ne donne plus longtemps à ce blog, qui vivote... et pourtant, j'ai pas envie que ça s'arrête.