et je respire, je m’étire et débloque mon diaphragme. Je prends soin de moi, je me fais du bien, deviens intolérante à toute contrariété.
Le week-end, je décroche le téléphone, savoure l’instant et m’adonne à mes plaisirs. Je dors, me fais belle (enfin fais de mon mieux), me donne du temps pour ceux que j’aime et moi-même, pour mieux me retrouver.
Le week-end, je ralentis, retrouve ma vraie nature, aérienne, légère, étourdie, tête en l’air. Je perds la maîtrise … et récolte des bleus. Un magnifique violacé et en relief sur le mollet, un qui m’interdit le port de chaussures montantes, ça tombe bien il fait beau. Un que je badigeonne d’hélychryse, tout au long de la journée. Un qui va me faire me souvenir tout au long de la semaine, que putain c’était bien ce week-end, mais pas que …
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