« Capital »: « A qui profitent les joyaux de la France ? » ce soir sur M6

Publié le 03 mars 2013 par Buzzmedias @buzzmediasnet

Ce soir à 20h45, M6 proposera un nouveau numéro de « Capital ». Présenté par Thomas Sotto, le magazine aura pour thème: « Châteaux, antiquités, patrimoine: à qui profitent les joyaux de la France ? ». 

Qu’y a-t-il de commun entre la tour Eiffel, les cimes enneigées des Alpes ou un village médiéval de Dordogne ? Tous font partie de ce que la France a de plus précieux: son patrimoine. Parce qu’il est chargé d’histoire, bien sûr, mais aussi parce qu’il est une incroyable source de richesses. Grâce aux visiteurs tout d’abord: chaque année, 75 millions de personnes viennent en France pour admirer ses paysages naturels ou l’un de ses 44 000 monuments historiques. Mais le « patrimoine » français c’est aussi du commerce d’œuvres d’art, des restaurants et des hôtels qui font le plein aux abords des sites. Et cela rapporte: plus de 15 milliards d’euros en 2011 ! Un joli pactole qui éveille bien des appétits.

Ce soir, « Capital » vous propose un document inédit de 52 minutes sur un lieu mythique: « Les Puces » de Saint Ouen. Lieu de villégiature, c’est aussi – et surtout – le plus grand marché d’antiquités du monde: on y trouve de tout, et parfois même n’importe quoi ! Vous verrez comment les marchands traquent la bonne affaire… et surtout le client ! Puis nous vous emmènerons à 4 810 mètres d’altitude, direction le Mont-Blanc. C’est le 3ème site naturel le plus visité au Monde. Et quand les touristes s’en prennent plein les yeux, d’autres s’en mettent plein les poches. Ces trésors de France qu’on s’arrache: c’est dans « Capital« .

Déco, art: dans les coulisses du « Marché aux Puces »: C’est un document exceptionnel. Nous avons installé nos caméras dans un des lieux touristiques les plus fréquentés de la capitale, avec près de quatre millions de visiteurs par an: le marché aux puces de Saint-Ouen. 7 hectares aux portes de Paris qui cachent un univers incroyable: celui d’un marché fondé à la fin du 19ème siècle et qui réunit aujourd’hui 1 700 marchands: plus d’un millier d’antiquaires, 500 pour les fringues et 100 personnes qui travaillent dans les bars, restaurants, ou chez les transporteurs spécialisés. Tous ont leurs codes, leurs traditions, leurs secrets que nous avons percés. Chaque jour, des pièces d’art ou de mobilier passent de mains en mains, voyant au passage leurs prix multipliés par 2 à chaque étape. Du particulier au brocanteur, du brocanteur à l’antiquaire, de l’antiquaire au riche client final. Des échanges commerciaux qui ont fait pendant longtemps la fortune de certains professionnels, présents parfois ici depuis plusieurs générations ! Vous suivrez leur travail au quotidien : comment dénichent-ils la plus belle pièce ? Et comment les prix peuvent-ils s’envoler en quelques secondes ? Mais pour les particuliers, le marché des antiquités c’est un univers compliqué à pénétrer. Comment s’y retrouver lorsqu’on est acheteur et être certain de faire une bonne affaire ? Vous verrez également comment les marchands s’organisent pour résister à une toute nouvelle concurrence: celle d’Internet. En effet, bon nombre de particuliers vendent désormais leurs vieux objets sur le net, forçant les antiquaires à s’adapter !

- Mont-Blanc, un business au sommet: Le plus haut sommet d’Europe est une merveille naturelle bien sûr mais c’est aussi une montagne en or. Car on vient du monde entier pour l’admirer. Un afflux de visiteurs dont beaucoup, depuis très longtemps, tentent de tirer profit: hôtels, restaurants mais aussi guides, agents de voyages. C’est à qui sera le mieux placé, proposera la plus belle vue ou le plus beau souvenir. Tous se livrent une concurrence acharnée pour attirer quelques-uns des millions de visiteurs qui affluent chaque année. Des nouveaux hôtels, aux vues à couper le souffle, aux excursions incroyables proposées aux touristes, vous allez découvrir comment le Mont-Blanc peut rapporter beaucoup, beaucoup d’argent.

En attendant, Buzzmedias.net vous propose de découvrir la bande-annonce de l’émission:

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