Les Pires Adaptations de BD en Films

Publié le 27 février 2013 par Wtfru @romain_wtfru

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Aujourd’hui sort en salle Boule et Bill le Film. Et en ayant vu que la bande annonce, on peut d’ores et déjà parier sur le joli nanar (ça fera toujours qu’un de plus pour Frank Dubosc). Mais on ne veut pas s’en prendre à ce film plus que ça, pas le genre de la maison. Non, le constat ici est que les adaptations cinématographiques de nos BD préférées sont rarement des chefs d’oeuvres. On vous a fait une petite liste pour étayer notre propos.
Attention, certaines vidéos peuvent s’avérer très vite gênantes..

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.LUCKY LUKE (2008)
Il fut un temps où, loin d’être oscarisé et George Clooneyisé, Jean Dujardin, c’était surtout Brice de Nice ou encore Lucky Luke. Pas du grand art dira-t-on gentiment. Et à chaque fois, c’est James Huth qui se cache derrière la caméra. On ne peut pas dire que cette adaptation aura marqué les esprits, bien au contraire..

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.TINTIN ET LE MYSTERE DE LA TOISON D’OR (1961)
Si la plupart des adaptations s’avèrent récentes, il ne faut pas croire qu’elles n’existaient pas déjà il y a 40 ans. Cette première adaptation des aventures de Tintin date de 1961 et est réalisée par Jean-Jacques Vierne. L’aspect vintage n’arrange évidemment rien aux affaires pour le coup.

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.IZNOGOUD (2005)
Navet parmi les navets, l’adaptation d’Iznogoud par le légendaire Patrick Braoudé fait très très mal. Un casting de choix nous avait mis la puce à l’oreille: Michael Youn, Kad et Olivier, Frank Dubosc (et oui déjà). On a de la peine pour le grand Jacques Villeret, embarqué dans cette affaire.

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.GARFIELD (2004)
Les américains sont peut être encore meilleurs que nous pour réaliser des daubes à gros budget. On a beau aimer d’amour la délicieuse Jennifer Love Hewitt, il n’empêche que ce film est proche du niveau 0. En même temps, quand la version française du célèbre chat est assuré par Cauet, faut pas s’attendre à des miracles.

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.LES DALTONS (2003)
Eric & Ramzy ont fait plus de mal que de bien au cinéma français, c’est certain. Mais le vide du vide est sûrement touché ici même. Pas besoin d’en dire plus.

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.ASTERIX AUX JEUX OLYMPIQUES (2008)
La catastrophe nationale. On ne sait pas si c’est parce que le casting était complètement fou, ou si c’est parce que le précédent Astérix (Mission Cléopâtre) est un classique absolu, mais cette nouvelle adaptation du héros gaulois a été une plantade de malade mental. Rarement un film aura autant fait l’unanimité contre lui. Frank Dubosc est évidemment de la partie.

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.LES SCHTROUMPFS (2011)
Encore un coup des américains qui aiment beaucoup le mi film réel, mi film d’animation. Bon, niveau image, passe encore (3D) même si c’est pas non plus fou. Mais le scénario putain de sa race les gars! Le pauvre Neil Patrick Harris (Barney Stinson) vient s’embourber dans un truc qui pue des fesses et vient prouver une fois de plus qu’être un bon acteur de série ne fait pas de toi un bon acteur de cinéma. Loin de là.

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.LES BIDOCHON (1996)
La BD culte se voit ici caricaturer encore plus que la caricature même et ça donne un truc un peu malsain. Comme si on avait bien voulu appuyer sur la loose attitude de cette famille et les rendre vrais. Finalement ça les rend faux et c’est nul.
Ca sent la bonne vieille télé à pépé.

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