Bien entendu, il précise que ce sera seulement pour les infractions graves que ce genre de dispositifs seront utilisés.
Quand on sait que le Service de renseignement continue d’accumuler en toute illégalité et depuis des lustres des données sur les citoyens, avant l’entrée en vigueur des nouvelles dispositions proposées, la sphère privée en Helvétie ne concerne bientôt plus que les animaux de compagnie, qui ont heureusement leurs propres idiomes.
Il sera intéressant de voir ce qu’en diront les parlementaires, s’ils y comprennent quelque chose ou veulent bien s’en donner la peine.