Beautiful creatures

Hello everyone! Alors, hier soir (oui, à l’heure où vous lirez ces lignes, je serai dans mon bus retour casa après trois heures d’enseignement), grâce (ou à cause de) Tanja, j’ai regardé l’adaptation de 16 lunes.

Pendant un looooong moment, je n’ai pas su quoi en penser…

16 lunes, ça raconte quoi? Ben, facile, ça raconte l’histoire d’un gamin qui tombe amoureux d’une gamine qui se trouve être une Enchanteresse, et aaaah, l’amour impossible fait décidément recette chez les jeunes…

J’avais décidé de ne pas lire 16 lunes. Pourquoi? Parce que malgré les distances que les auteures ont voulu prendre avec la bouse qu’est Twilight, c’en est un bel ersatz quand même. Même s’il n’y a pas de vampires qui brillent au soleil ou de loup-garou en torse poil.

A l’heure où moi-même me plonge nuit et jour dans les yeux bleus de cet espèce d’adorable psychopathe à l’accent british et aux pommettes saillantes qu’est Klaus Mikaelson, j’ai pas envie de regarder une amourette sur fond de trucs bizarres.

Bonne surprise, de ce côté-là, le film est sauvé par ses parallèles avec Harry Podfleur. C’est là qu’ils ont su me harponner.

Par exemple, la première manifestation des pouvoirs de Lena se fait sous le coup de la colère, et ça, ça me rappelle étrangement un jeune wizard de 13 ans qui gonfle sa tantine comme un ballon.

Sauf que Lena n’a pas de tantine. Elle a un tonton.

Interprété par noone other than Jeremy Irons himself.

Là, je me suis bien faite avoir. D’habitude, je placerais plutôt Jeremy du côté des vilains (tel un Jean Reno dans Un amour de sorcière (j’aime ce fiiiiilm)), et Emma Thompson du côté des gentils, parce que je l’adore.

Mind = blown comme dirait JoMo (j’vous disais que je suis obsédée par The Originals en ce moment). Emma est la vilaine de l’histoire.

Mouararar. C’est qu’elle le fait bien.

Donc, histoire d’amour à la con: merci, mais non merci. Pouvoir à contrôler, choix entre le bien et le mal: ok, je prends.

Il y a donc à boire et à manger dans ce bidule.

Faites-vous votre propre opinion, les gens!

Note: 6/10 (scénario: 6/10 – jeu: 7/10 - BO: 7/10 - idée de départ: 4/10 (pleuhease!))