Dans le train qui me conduisait au centre de Paris, où j’avais l’intention de visiter le Musée de Cluny, je lisais cette belle description du Musée du Louvre – Lens : « offrir au public du Nord des œuvres majeures, dans l’une des architectures les plus raffinées du moment, en dialogue avec un territoire populaire et déshérité, sans rien gommer de sa mémoire mais en lui renvoyant un reflet flou, en quelque sorte sublimé » (François Chaslin)
Suivait un gris de Suzanne Doppelt, « ennemi de toute peinture » et pourtant « poussière (…) qui révèle la lumière ».
Et, sous une photo de Philippe Moreau, les « 400 nuances de chevaux » (titre sans doute copié d’un livre récent à fort succès médiatique) où Marie-Rose Lefèvre parle des quatre cents qualificatifs décrivant les nuances de la robe des chevaux qu’utilisent les nomades de Mongolie.