Après des restaurants d’orient en fin de semaine dernière, retour vers des cuisines plus catholiques. Grand déjeuner de famille dimanche.
Déjeuner lundi au Bistrot Napolitain avec Oanèse et Patrice (service archi débordé, pas mal de temps, pour avoir nos pizzas, pourtant nous avions commandé avant 12h45!), on fermera les yeux, même si Oanèse a été déçue par le peu de mozzarella du buffala dans sa Enzo (elle lui préfère la Rucola, même principe mais avec du parmesan et sans tomates cerises), beaucoup de ricotta dans ma calzone. Pas mal de monde au Berkeley déjà à 18h (dont des libanaises d’un certain âge, c’était prévisible), pour une tisane du berger (5€, avec de petits financiers), en compagnie d’Imad : pour prendre un verre, ce n’est pas si mal.
Mardi, je zappe un déjeuner Supélec pour retrouver Oanèse, Claire et Patrice (pas le même que la veille) au Passage de Senderens. Petite déception lors de notre avant dernier passage, fin mars : il y avait beaucoup de monde ce jour-ci, le menu à 36€ venait d’être mis en place, les tapas avaient disparu de la carte. Nous avons testé le menu (amuse bouche : flan au foie gras, filet de rouget en entrée, côte de bœuf et churros de pommes de terre en plat-autre chose qu’une frite de riz-, mille feuilles pour finir) et avons été complètement rassurés : c’est toujours aussi bien! Le soir, on se ruine en légumes et fruits chez Mireille, rue de Verneuil.
Mercredi, pause : sandwich chez Faucheux, trouvé des cartoville Bruxelles et Vienne (édition 2007). Le soir, gros succès de la conférence sur l’analyse technique à la maison des Supélec. 20 pizzas de chez Strada, qui semble avoir été repris. Le four à pizza est passé en salle, les pizzas à emporter (autrefois à 8€) passent à 8-9€, mais semblent un peu plus petites. Makis de chez les faux chinois de la place.
Jeudi, après une présentation Mathworks au Mercure Gaieté, déjeuner avec Nicolas M (de retour du Viet Nam, bientôt à nouveau à Londres) au Café Noisette. Le saligaud ne s’est pas coupé les cheveux depuis 2006 et il parait que le rythme de travail demandé pour son master à Londres est encore plus faible que pour Supélec… La serveuse du Café Noisette n’est pas la même que le soir (ou elle a changé depuis septembre). Gentille. Saucisson chaud pour Nicolas, salade de foies de volaille pour moi, puis un méli mélo de ravioles chacun. 50cl de vin rouge. Une vingtaine d’euros par personne. Le soir, vente privée Kenzo porte de Champerret (une magnifique chemise flashy). Taboulé de Rimal, asperges vertes (y en a marre des blanches) de Mireille, fraises gariguettes de Monoprix.
Vendredi, déjeuner à l’Envue (avec Laurent), pas donné, mais pas mal : foie gras (plutôt bien), tartare de tomates et langoustines (très bien), avec deux huitres, tagliatelles aux gambas (un peu fort), cabillaud + risotto (un peu tiède), ananas rôti et glace coco. Serveuses mignonnes et gentilles. Une cinquantaine d’euros par personne (avec deux coca light et un Perrier, 5€ chacun).
Ce soir, ça va être léger : Sud Ouest Monceau. Et puis ce week end, ce sera Bruxelles, avec un passage samedi soir chez ReSource et peut être une friterie.
Ah oui, avec un peu de chance, je rattraperai le retard sur ce blog vers la fin avril, début mai. J’ai enfin sorti quelques vieilleries : le Vasco et l’hôtel de la Chartreuse du Val Saint Esprit, à Gosnay, près de Béthune, le bar du Westminster, au Touquet, et l’Arpège. Je constate que l’ANe a enfin décidé d’être sage, je ne peux que m’en réjouir.