Le Catalogue des Résidences informelles du Vauclin disponible en ligne

Le catalogue Résidences informelles du Vauclin est disponible en ligne
 A partir de ce lien
http://www.martinique-art.com/

La Martinique est   par sa situation géographique et ses caractéristiques insulaires, un lieu ouvert, véritable carrefour de toutes les influences, occidentale, américaine, africaine et orientale. Aussi, il s’agit d’ouvrir à des artistes du monde entier les portes d’une île riche de toutes ces inspirations culturelles et de voir la Martinique dans sa globalité comme un véritable atelier de création.
Ainsi, les artistes sont invités à séjourner sur l’île pendant une ou deux semaines, période au cours de laquelle ils relèvent le défi de concevoir sur place une œuvre unique et originale, nourrie de leur rencontre avec la terre martiniquaise.
Nature et culture locales deviennent alors sources d’inspiration pour tous, peintres, dessinateurs, sculpteurs, vidéastes ou photographes.
Plus tard, exposées hors des frontières caribéennes, les œuvres d’art nées sous les tropiques témoignent de toute la richesse du patrimoine insulaire martiniquais.
 Les résidences du Vauclin ont déjà reçu Noritoshi Hirakawa (Japon), Erwin Wurm (Autriche), Beat Streuli (Suisse), Sophie Von Hellerman (Allemagne), Aleksandra Mir (Pologne), Henrik Hakansson (Suède), David Claerbout ( Belgique), Wilhem Sasnal ( Pologne), Michaël Sailstorfer ( Allemagne), Mathew Brannon (  USA), Alexandre Da Cunha ( Brésil), Daniel Sinsel ( Allemagne )  Keith Edmier (U S A ) et Rogalski Zbigniew ( Pologne ) , Michel Blazy (France), Rafal Bujnowsky (Pologne) et Jordan Wolfson (USA) Johannes Wohnseifer (Allemagne), Alicja Kwade (Pologne)
Aujourd’hui, le catalogue bilan récemment publié est à votre disposition sur le site www.martinique-art.com
Ce catalogue retrace les résidences de ces artistes au Vauclin mais aussi le périple autour du monde de certaines des œuvres produites à la Martinique : parmi d’autres, les portraits de rue la série Fort – de – France de Beat Streuli installées sur l’enceinte extérieure de la galerie d’art contemporain Jablonka de Cologne, la peinture de Sophie Von Hellermann à la Foire de Bâle, les vidéos de Henrik Hakansonn au Palais de Tokyo lors de l’exposition Tropico- Végétal (Lost in paradise), la vidéo de Tue Greenfort au    «  Pestival 2009 », une œuvre vidéo de Michel Blazy projetée à la Galerie Art – Concept et au Centre d’art Le Plateau, les photographies sous – marines de Michaël Sailstorfer exposées à la Galerie Zéro de Milan … Certaines œuvres sont restées sur place comme le buste en sable noir de Cyparis offert par Rafaël Bujnowsky à la ville de Saint – Pierre après exposition en Allemagne et à la Foire d’art de Reykjavik.
Il conserve aussi les traces d’un passé naturel ou architectural aujourd’hui disparu : Le Façade du Lareinty ou la cocoteraie de la Pointe Faula (Aleksandra Mir), La Rotonde ( Noritoshi Hirakawa).

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