Ce matin, j’ai lu que, dans l’Isère, un enfant de 11 ans avait du changer d’école parce qu’il était harcelé et battu par une autre élève. Une preuve de plus qu’en l’absence d’autorité réelle, c’est la loi du plus fort qui prime, la loi des minorités violentes, du plus brutal.
C’est ce que Nathalie et moi avons pu constater dans son lycée, là ou elle a travaillé pendant 20 ans, là où tout a reculé années après années devant « ceux qui osent tout », un laissez aller et complaisant des autorités, des politiques qui demandent aux victimes de se taire pour ne pas avoir à affronter les brutes.
Nous, nos enfants, on ne l’ai a pas changé d’établissement, une erreur ; ils se sont endurcis pour ne plus être du coté victimes, ils sont passés de l’autre coté…
Sale époque…