Pas de gros lachage cette semaine et du coup seulement deux livres ont rejoint ma P.A.L.
Tout d'abord, ayant obtenu 140 points chez France Loisirs j'ai pu choisir un livre gratuit en échange de 100 points et voici le livre qui a attiré mon attention et que j'ai commandé :
"Le jour de la rentrée, deux enfants découvrent un
spectacle cauchemardesque dans le gymnase de leur école. Cinq corps d’hommes ont été mutilés à la tronçonneuse avant d’être pendus au plafond dans une mise en scène d’une précision terrifiante.
L’inspecteur en chef Simonsen interrompt aussitôt ses vacances avec sa fille et rentre à Copenhague pour prendre la direction de l’enquête. Dès les premiers interrogatoires, l’étrange concierge
de l’école, un marginal qui dissimule un esprit retors derrière un alcoolisme de façade, tient des propos contradictoires et délibérément provocateurs…
L’identification des corps est compliquée par leur
état de mutilation, mais l’ablation systématique des parties génitales ressemble à une signature. Au même moment, un riche entrepreneur victime d’abus sexuels dans sa jeunesse lance une vaste
campagne de communication pour dénoncer le laxisme de la justice danoise vis-à-vis des pédophiles. L’opinion publique s’empare du débat, menaçant de parasiter l’enquête. Le concierge, de son
côté, échappe à la surveillance de la police et achève définitivement de brouiller les pistes… Simonsen, qui a trop d’expérience pour ne pas se méfier des coïncidences, comprend qu’il a affaire à
un plan de grande ampleur dont il ne connaît encore ni les tenants, ni les aboutissants…"
Ensuite je suis allé rendre La fabrique des illusions de Jonathan Dee à la librairie d'Orléans et voici le livre que j'ai choisi en échange :
"Une mort très brutale attend, à sa
descente d’hélicoptère, l’évêque Dom Felipe venu inaugurer la nouvelle église d’une province de l’État de São Paulo.
La police fédérale brésilienne missionne sur place l’inspecteur principal Mario Silva.
Il est plongé au cœur d’une lutte sanglante entre un cartel de gros propriétaires terriens, des syndicats d’ouvriers agricoles et la police locale, plus portée sur la torture que le maintien de
l’ordre. Qui d’entre eux a pu oser assassiner un futur cardinal ?
Mario Silva doit sa vocation de policier à un drame intime épouvantable qui l’a marqué à jamais.
Il a vu lui aussi couler le sang des maudits."
Bonnes lectures!!