Magazine Poésie

De l’art à Orléat

Par Arielle

DSCN1173

   Les cigognes se sont posées à Orléat

   Annonçant l’éloignement des frimas

   Le fin du fin, l’espoir en craquètements

   Sous un généreux soleil au firmament

   Orléat, une ville en or malgré les aléas

   Des sculpteurs aux doigts de Baccarat

   Qui, de vieux bidons, créent l’émotion

   Au détour d’une ruelle sans prétention

   Je les ai rencontrés devant leur atelier

   Où siège déjà un géant de fer et masqué,

   Armé d’une lance comme pour protéger

   La vieille église aux vitraux ciselés, dorés

   Puis je me suis dirigée vers la dune de sable,

   Rare dune continentale à végétation basse

   Que nos cigognes ont délicatement survolée

   Déployant leurs ailes avant de s’installer.


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Arielle 5596 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines