Malgré un passage aussi rapide qu’éclair, au sein de la petite ‘Brissi’, dont on m’avait tant parlé, un léger récit s’impose. Une capitale ou émane, au-delà d’une chaleur harassante justifiant parfaitement sont classement dans les villes aux « climat subtropicale », un réel engouement pour la détente, le tout sur un air de vacance. Malgré l’existence de différents quartiers dont les noms nous rappel n’importent lesquelles de nos séries américaines, South Bank, New Farm, West End, et j’en passe, le style et l’ambiance reste pour la plus part assez uniforme. Brisbane est aussi réputé pour son coté culturel que pour ses plages aussi artificiel que le brushing des sœurs Kardashian. Un décor aux allures paradisiaques pour le plaisir des petits et des grands, le tout sous les yeux avisés et bienveillants des célèbres ‘lifeguard’, recrutés selon le commandement australien « abdominaux, bronzage et muscles tu auras, lifeguard tu seras ». Ce petit récit serait incomplet sans évoquer ces surprenantes petites rencontres animales. Allant du lézard protéiné jusqu’au bout des écailles, passant par des lémuriens surpris par un sprint final de fin de course, ainsi que ce petit animal appartenant soit disant à la catégorie des rongeurs j’ai nommé le wombat. Brisbane, pour ainsi dire, la capitale du Queensland, se résumerait par un mélange entre des températures équivalentes à un épisode de canicule digne de 2003, une architecture ou l’art moderne vient s’ajouter au gratte ciel, et enfin par un panel d’australiens, à l’accent si prononcé qu’ils te feraient douter sur tes capacités à remplir ton objectif final, autrement dit inscrire fièrement, en tout et pour tout, sur mon CV, « Anglais lu/écrit/parlé couramment ». J.R