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Ciné : Chimpanzés

Par Plumesolidaire

      bof 

Ce n’est pas parce que d’ingénieux réalisateurs déploient des moyens techniques considérables qu’un scénario est passionnant.

J’ai donc piqué du nez à plusieurs reprises tant cette histoire primaire de primates m’a peu émue.

Vous appréciez les séances de cinéma en présence de nombreux enfants et d’adultes parfois peu civilisés. Vous avez le jeune spectateur qui bat des pieds le dossier de votre fauteuil, celui qui émet de délicates flatulences intestinales… Concernant les adultes, vous vous amuserez du spectacle auditif qui accompagne le crêpage de chignons entre deux mères, dont l’une désire s’assoir à une place dévolue péremptoirement par l’autre à l’entreposage des manteaux de sa progéniture; et de la consultation des téléphones portables qui constituent autant d’écrans indélicats qui troublent votre attention pour celui de la salle.

Avant j’aimais bien les animaux. J’ai même possédé des chats et un chien.

Ils sentaient moins mauvais, se montraient plus respectueux des conventions sociales en notre présence. Ce qui n’est pas le cas des hommes-singes qui puent et des gougeat(e)s qui n'ont cure des lois du clan homo sapiens.

Du coup j’hésite à aller voir les abeilles qui disparaissent à grands coups d'ailes (Des abeilles et des hommes).


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