Si jamais votre dulcinée (ou votre prince charmant) vous reproche de ne pas l'aimer assez, vous pourrez toujours lui raconter cette histoire :
A trop aimer (Rimbaud) on peut finir en prison.
Et derrière les barreaux revenir à la raison.
Y a pas d'époque pour le "crime" passionnel,
(mais à celle-ci, valait mieux qu'ce soit pour "elle").
Le dernier vers n'est pas obligatoire évidemment, et vous pouvez en changer. Sinon vous pouvez aussi lui dire que vous préférez l'aimer à proximité et gentiment que passionnément avec un droit de visite.
Voyons, l’amour, c’est une phrase
Sous un mot, — avouez, un écoute-s’il-pleut,
Un calembour dont un chacun prend ce qu’il veut,
Un peu de plaisir fin, beaucoup de grosse joie
Selon le plus ou moins de moyens qu’il emploie,
Ou, pour mieux dire, au gré de son tempérament,
Mais, entre nous, le temps qu’on y perd ! Et comment !
Extrait de Cellulairement