Grâce aux bons soins des parlementaires fédéraux grassement avantagés par les pharmas pour les protéger contre vents et marées, le cochon de Suisse apprend ce jour, mais il le sentait déjà, qu’il paye plus de un milliard de francs de trop par année sur le prix des médicaments qu’on lui distribue.
Pas de doute qu’avec ce genre de profits politiquement protégés, Vasella pouvait exiger 72 millions pour se taire.
Une paille, en somme, en comparaison avec la pastille que nous mettent chaque année les industries pharmaceutiques.