Fais gaffe m'embrasse pas sur la bouche ton père nous regarde!
Oh! le chameau, il nous fout les bosses en émoi.
Mais qui vous met les bosses en émoi?
Un poisson clown dans la mer de glace... Un peu givré quand même l'acrobate! Comme un poisson clown dans son refuge de corail,Cet alpiniste tente de se frayer un chemin au milieu des stalactites de glace qui recouvrent les parois à pic des cascades de Helmcken, les quatrièmes plus hautes chutes d'eau du Canada. Une ascension à haut risque pour les grimpeurs RaphaelSlawinski, Klemen Premrl et Tim Emmett, pourtant chevronnés. Aussi cassante que du cristal, tranchante comme de l'acier, la glace qui s'est accumulée sur la roche est terriblement difficile à escalader. Formées de lave stratifiée, les chutes d'Helmcken se trouvent sur la rivière Murtle, à l'entrée du parc provincial Wells Gray, en Colombie Britannique.Chaque année, elles attirent les meilleurs grimpeurs de la planète, en quête d'adrénaline et de défis. Crédits photo : Wiktor Skupinski/Barcroft Media/Abaca/ Wiktor Skupinski/Barcroft Media
Non ce n'est pas un tableau de Paul Cézanne!
C'est du thé de Chine en "infusion"....
Rizière de diamant. Creusées il y a plus d'un millénaire par les paysans du peuple Hani, ces rizières en terrasses s'étendent à perte de vue au sommet des montagnes duYunnan, au sud ouest de la Chine. Génération après génération, ils ont inlassablement modelé la montagne pour agrandir leurs champs, utilisant le moindre centimètre carré disponible. Certaines terrasses ont ainsi été creusées sur des pentes à plus de 75%. Une prouesse technique unique au monde. Chaque année,du mois d'avril au mois de septembre, lesHanis y cultivent toujours le riz.Après chaque récolte, les bassins sont inondés pour préparer la culture suivante.Rituel immuable, l'inondation des rizières attire desmilliers de touristes venus dumonde entier." title="Sourires et Soleil, un dimanche comme on les aime..." />Rizière de diamant. Creusées il y a plus d'un millénaire par les paysans du peuple Hani, ces rizières en terrasses s'étendent à perte de vue au sommet des montagnes duYunnan, au sud ouest de la Chine. Génération après génération, ils ont inlassablement modelé la montagne pour agrandir leurs champs, utilisant le moindre centimètre carré disponible. Certaines terrasses ont ainsi été creusées sur des pentes à plus de 75%. Une prouesse technique unique au monde. Chaque année,du mois d'avril au mois de septembre, lesHanis y cultivent toujours le riz.Après chaque récolte, les bassins sont inondés pour préparer la culture suivante.Rituel immuable, l'inondation des rizières attire desmilliers de touristes venus dumonde entier." border="0" /> Creusées il y a plus d'un millénaire par les paysans du peuple Hani, ces rizières en terrasses s'étendent à perte de vue au sommet des montagnes duYunnan, au sud ouest de la Chine. Génération après génération, ils ont inlassablement modelé la montagne pour agrandir leurs champs, utilisant le moindre centimètre carré disponible. Certaines terrasses ont ainsi été creusées sur des pentes à plus de 75%. Une prouesse technique unique au monde. Chaque année,du mois d'avril au mois de septembre, lesHanis y cultivent toujours le riz.Après chaque récolte, les bassins sont inondés pour préparer la culture suivante.Rituel immuable, l'inondation des rizières attire desmilliers de touristes venus dumonde entier. Crédits photo : ISABELLE CHAUVET/SOLENT NEWS/SIPA/ISABELLE CHAUVET/SOLENT NEWS/SIP La fête de Maha Kumbhamela C'est le "Gange" de toilette....Entre deux eaux. Ils sont venus par dizaines de millions.Une fois tous les douze ans, entre les mois de janvier etfévrier, les pèlerins hindous affluent de toute l'Inde vers la petite ville d'Allahabad, dans le nord du pays, pour célébrer dans la ferveur et le recueillement la fête de la Maha Kumbhamela, le plus grand pèlerinage religieux au monde. En longues files, le long des rives et des ponts de la ville, au confluent du Gange, du Yamuna et d'une troisième rivière mythique, femmes et hommes attendent pour se baigner dans les eaux sacrées du Gange et se laver de leurs péchés. Un chassé croisé qui semble se refléter à l'infini. Partout où porte le regard, Allahabad ressemble à une immense métropole traversée de processions en prières et de fidèles au bord de l'extase." title="Sourires et Soleil, un dimanche comme on les aime..." />Entre deux eaux. Ils sont venus par dizaines de millions.Une fois tous les douze ans, entre les mois de janvier etfévrier, les pèlerins hindous affluent de toute l'Inde vers la petite ville d'Allahabad, dans le nord du pays, pour célébrer dans la ferveur et le recueillement la fête de la Maha Kumbhamela, le plus grand pèlerinage religieux au monde. En longues files, le long des rives et des ponts de la ville, au confluent du Gange, du Yamuna et d'une troisième rivière mythique, femmes et hommes attendent pour se baigner dans les eaux sacrées du Gange et se laver de leurs péchés. Un chassé croisé qui semble se refléter à l'infini. Partout où porte le regard, Allahabad ressemble à une immense métropole traversée de processions en prières et de fidèles au bord de l'extase." border="0" /> Ils sont venus par dizaines de millions.Une fois tous les douze ans, entre les mois de janvier etfévrier, les pèlerins hindous affluent de toute l'Inde vers la petite ville d'Allahabad, dans le nord du pays, pour célébrer dans la ferveur et le recueillement la fête de la Maha Kumbhamela, le plus grand pèlerinage religieux au monde. En longues files, le long des rives et des ponts de la ville, au confluent du Gange, du Yamuna et d'une troisième rivière mythique, femmes et hommes attendent pour se baigner dans les eaux sacrées du Gange et se laver de leurs péchés. Un chassé croisé qui semble se refléter à l'infini. Partout où porte le regard, Allahabad ressemble à une immense métropole traversée de processions en prières et de fidèles au bord de l'extase. Crédits photo : Rajesh Kumar Singh/AP/SIPA/Rajesh Kumar Singh/AP/SIPA