Son idée première est qu'il nous faut une troisième voie, un gouvernement du bon sens, qui n'existe pas. En dehors de cet appel à la bonne volonté, on est bien en peine de trouver une idée forte chez JFK (et notamment, bien sûr, rien sur l'Union européenne et l'euro).
Après le 6 mai, Hollande est, selon Kahn, voué à s'engluer dans les non-choix socialistes. C'est assez bien vu. La suite, pour Kahn, c'est la montée du FN.
On peut y croire aussi, et comme commentateur du paysage politique national, JFK n'est pas mauvais. J'aime bien sa formule : "La limite de Jean-Luc Mélenchon ? [...] Avoir sacrifié la qualité des paroles à la force entraînante de la musique".