Les médecins sont formels: se retenir de lâcher un vent dans les airs peut entraîner de nombreux symptômes chez le passager aérien trop soucieux des convenances, selon une étude exhaustive menée par des gastroentérologues et publiée vendredi dans une revue médicale.Je suis personnellement assez fan de la notion de "stress dû à la concentration nécessaire pour ne pas chier dans ses brailles", que je pense ressortir à un des prochains membres du CHSCT de mon entreprise qui viendra me parler du bien être au travail...
La baisse de la pression aérienne dans l'avion entraîne une production accrue de gaz digestifs, rappelle cette étude parue dans le New Zealand Medical Journal. Se retenir "présente de sérieux inconvénients pour l'individu: gêne physique, voire douleur, gonflement, dyspepsie (indigestion), pyrosis (brûlures d'estomac), pour ne nommer que quelques-uns des symptômes abdominaux", souligne l'étude. "La concentration nécessaire pour se contrôler peut même être facteur d'un stress conséquent".
Je ne recopie pas l'intégralité de l'article du Midilibre, mais il est également évoqué l’intérêt de "coussins absorbant", pour éviter de trop incommodé son voisin de siège. En effet, normalement, un pet ça pue. Comme le disent les sages (enfin les vieux) chez nous, si tu pètes et que ça ne chlingue pas, ou que ça ne fait pas de bruit, ça ne sert strictement à rien péter.
J'avoue avoir assez de mal pour écrire des articles politiques en ce moment. Je suis même incapable d'écrire de la merde, puisque je m'arrête simplement au vent l'annonçant. Décidément, je ne suis pas en forme actuellement... Je devrais peut être arrêter de me retenir... (mais y en a qui vont gueuler à la maison...)