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Jeune romancière à la plume délicate et aux références distinguées, Oriane Jeancourt Galignani s’empare du destin fulgurant et tragique de Sylvia Plath, cette poétesse américaine dont on célébrait le 11 février dernier le triste anniversaire du suicide. Avec Mourir est un art, comme tout le reste, publié chez Albin Michel, elle signe le portait d’une femme trompée, d’une artiste torturée, d’une mère débordée, mais surtout, le portrait juste et poignant d’une femme résolument contemporaine.
Les choix de d’Oriane Jeancourt Galignani :
Bye Bye Blackbird, de Miles Davis (1957)
Yellow birds, Kevin Powers (Stock)
Le choix d’Anastasia :
Différente, de Sara Lövestam (Actes Sud)
Le choix d’Arthur :
Cellulairement, de Paul Verlaine (Gallimard)
et
Exposition : Verlaine emprisonné (jusqu’au 5 mai 2013 au Musée des lettres et manuscrits)
La chronique de David :
Sur la tombe de ma mère, de Jean Gab’1 (Don Quichotte éditions)