« Alarme citoyens, des politiques sont passés à l’acte ! »
Contre l’avis de la majorité des français, contre l’avis de la majorité des parlementaires, contre l’avis des riverains, contre l’avis des toxicomanes eux-mêmes… l’expérimentation des salles de shoot (en français CIS ou Centre d’Intoxication Supervisée) a été décidée par ceux qui sont censés nous représenter.
La toxicomanie est une épine aux pieds de certains, mais une aubaine pour d’autres…
Incapables de mettre un terme, ou tout au moins un frein à ce dangereux penchant, dépassés par un phénomène entretenu qui dérape, la solution de facilité trouvée par certains « élus » est bien de mettre un paravent afin de cacher ce problème et garder un certain vernis de respectabilité.
Qui se soucie des « toxicos » ? Ils ne sont déjà plus de ce monde !
Qui cherche des solutions efficaces pour les aider à sortir de la drogue ? Et pourtant elles existent, pourquoi ne veut-on pas les mettre en œuvre ?
Qui a essayé la prévention et l’information plutôt que le camouflage ?
Qui se soucie des Êtres Humains plutôt que de l’argent et du pouvoir ? Gauche et droite se renvoient la balle pour gagner des suffrages mais…
Les salles de shoot sont appelées « Opération Sanitaire » ; les toxicomanes pourront continuer à se détruire mais à l’abri, afin de ne pas faire désordre. On les aiguillera (sans jeu de « maux ») sur des drogues « officielles » payées par nos impôts comme la Méthadone (dont on sait les conséquences dramatiques …et la manne financière que cela représente pour les labos pharmaceutiques).
« Ces salles de shoot sont vraiment la première étape pour se débarrasser des ‘‘encombrants’’ sans diminuer le trafic rentable que représente la vente de psychotropes en tout genre » déclare M. Galibert, président de l’association de prévention « Non à la Drogue, Oui à la Vie ». « C’est aussi la première étape vers une légalisation qui enfoncerait encore plus la jeunesse en renforçant la permissivité. Cela ne résout rien, tant au niveau des toxicomanes que des autres personnes, bien au contraire et il faut être naïf pour croire que le problème va « disparaitre » ou même diminuer, qu’il n’y aura plus (ou moins) de seringues sur la voie publique, plus d’overdoses, plus de délinquance, plus d’accidents de la route dus aux drogues…Bien au contraire ! Et les milliards qui vont être « injectés » dans ces « Chambres à Drogues » pourraient servir à établir une vaste campagne de prévention ; car les solutions existent, que ce soit pour diminuer la demande ou pour aider les toxicomanes à s’en sortir, mais bizarrement ces solutions, qui ont pourtant fait leurs preuves, sont laissées de côté. »
Les bénévoles de l’association de prévention « Non à la drogue, Oui à la Vie » luttent depuis plus de 20 ans sur le terrain, informant sans relâche les jeunes comme les parents. Ce samedi à Marseille, Cours Julien, ils avaient installé leur stand d’information et distribué gratuitement des centaines de brochures.
Stand d'information anti drogue
Conscients que cette volonté délibérée de désinformer et de banaliser les drogues sont à la base de la destruction de la société, ils mettent gratuitement à la disposition du public des livrets d’information factuels sur les drogues les plus courantes comme le cannabis, l’alcool, l’héroïne, la cocaïne, l’ecstasy, le LSD…
Les enseignants et les éducateurs qui le désirent peuvent recevoir gratuitement un manuel pédagogique pour les guider dans leur tâche ainsi qu’un DVD contenant des clips vidéo afin d’illustrer les cours.
Pour avoir plus d’informations sur les actions de l’association ou pour recevoir gratuitement nos matériaux, visitez le site : www.nonaladrogue.org
Contact presse : Robert Galibert au 06 20 51 17 57
info.drogue@gmail.com ou http://cestquoiladrogue.fr