Combien faut-il douter,faut-il craindre,
Remettre en cause nombre de certitudes,
Se lamenter pauvre de toute son âme en ce désert de notre ignorance,
Avant d’abreuver notre coeur auprès de la source d’espérance,
Elever notre être alors revigoré d’une inédite confiance,
Pourtant ne jamais blâmer cette souffrance passée,
En ses ombres,en son inexpressif,en son incompréhension,
Les fertiles questions,
L‘originelle promesse renaît de son oubli,
Redevient maîtresse de notre destinée.