Suite à mon post sur l’arrêt possible de la gamme Sanoflore, j’ai été contactée directement par la direction de la communication. Non, la gamme ne s’arrête pas ! Ma pharmacie est seulement en dessous de tout.
La Directrice de la communication m’a confirmé que « Sanoflore poursuit son développement et l’extension de ses gammes dans la Distribution (ils sont en train d’ailleurs de lancer des nouveaux produits), ainsi que son engagement historique en faveur du développement durable. »
Et pour vous resituer Sanoflore (et l’origine de ma déception sur un possible arrêt de la gamme), je tiens à publier cette information sur leur politique développement durable.
« Pionnière de la cosmétique BIO en France, en 1986, la marque élève le développement durable au rang de valeur identitaire. Naturalité, ingrédients bio, processus de fabrication éco-respectueux, priorité au local, soutien aux agriculteurs Bio du Vercors, où la marque est installée depuis 1972…
- Nous utilisons des plantes et des fleurs médicinales cultivées biologiquement en Haute Provence.
- Leur distillation à la vapeur d’eau, respecte l’environnement et préserve les propriétés actives des plantes fraîches.
- Les formules, débarrassées des huiles minérales, sels d’aluminium, sulfates, Phtalates, Bisphénol, silicone, OGM et autres conservateurs de synthèse, sont valorisées par des parfums 100% naturels selon le cahier des charges Cosmebio.
- Depuis 2007, tous les étuis Sanoflore en carton sont certifiés FSC, garantissant ainsi l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement, de la forêt à l’imprimeur. Pour les flacons, nous privilégions systématiquement des matériaux recyclés ou recyclables.
- La plupart de nos ingrédients proviennent de la « SICA BioPlantes » groupement de producteurs biologiques implantés dans le Vercors que la marque accompagne depuis 40 ans. »
Pour en connaître davantage sur Sanoflore, rendez-vous sur la page On s’engage et celle du jardin botanique
Quant à moi, je change bien sûr de pharmacie : un lieu de vente qui n’a plus mes produits fétiches et qui me raconte n’importe quoi… Cela fait beaucoup trop !