Indirectement, Alexander Straulino répond à une question fondamentale : où se cache le beau dans le corps humain ?
En le découpant à coups de zooms acérés, en le peignant, en le floutant, en le mettant en ombre ou en lumière. Tout y est disséqué avec la douceur de celui qui ne supporte que le beau.
Mais qu’elles soient en couleurs ou en noir et blanc. En détail ou en total. Nettes ou floues. Les photos d’Alexander Straulino sont toutes belles. Ce qui nous amène à cette seule réponse acceptable : la beauté du corps humain (de la femme, en fait, le seul des deux genres fait de courbes) réside dans l’œil de celui qui regarde.