C’est passé à la vitesse d’un cheval au galop qu’on aurait voulu transformer en lasagnes surgelées.
Ce fut intense, passionnant et fort comme le dernier épisode de la première saison de Game of Thrones.
C’était les 14èmes Rencontres Internationales du DEssin de Presse (RIDEP).
Quelques souvenirs en images…
L’affiche, signée du dessinateur canadien Bado.
On en a parlé au moins vingt minutes.
Mon dessin au premier plan est celui sur le pape. Coïncidence ? Je ne crois pas.
Le stand / L’expo
Bado (Canada) et Chaunu (France).
Soulcié (France) en pleine concentration.
Caro (Suisse). Ne vous fiez pas à son sourire éclatant, un détail devrait vous convaincre que cette femme est dangereuse…
Cathy Wilcox (Australie), Caro (Suisse), Kap (Congo) et ma pomme.
Mric (France), EG181 (France), Bado (Canada), Chaunu (Ouest-France) et Lardon (France aussi).
Rodho, Soulcié, Gouarch et mézigue (France, tous les quatre, dont deux bretons).
Kap (Espagne), Tom Janssen (Pays-Bas), Caro (Suisse) et Louison (France).
Parfois, en fin de journée, avec la fatigue, dix doigts ne suffisaient plus. Alors avec Louison, on en a mis le double.
Après l’effort, il a bien fallu qu’on s’accorde un peu de réconfort…
C’est beau, non ?
Je ne voudrais pas balancer, mais j’ai comme l’impression que Caro, Louison et Gouarch n’ont pas bu que de la tisane…
La belle équipe, célébrant Bacchus au Château de la Cassemichère (berceau, à ce que l’on m’a dit, du Muscadet).
Enfin, histoire d’achever ce super ouikende en beauté, on m’a demandé d’illustrer en direct la conférence « Le retour des identités : paradoxe de la mondialisation ? » menée par l’anthropologue canadien Jean Tardif et animée par Stéphane Courgeon.
Le banc-titre.
Et voilà. Clap de fin sur les RIDEP.
Encore un grand, un énorme merci et de chaleureuses félicitations à toute l’équipe d’organisation. Elle a affronté la tempête sans jamais perdre le cap ni lâcher la barre. Je les embrasse tous (même ceux qui ont la grippe).
Quant aux consœurs et confrères retrouvés ou découverts à cette occasion, je leur dis à bientôt (et les embrasse itou, on ne va tout de même pas se gêner).