L'exposition était sublime et facile à appréhender puisqu'elle suivait l'ordre chronologique du travail de l'artiste. D'abord Paris où il gagne sa vie en qualité d'illustrateur puis les aquarelles aux Etats-Unis…
Un regroupement de 164 de ses oeuvres (une première mondiale) datant de sa période la plus prolifique à savoir entre 1924 et 1966. Hopper est d'ailleurs considéré comme un des meilleurs témoins du quotidien des classes moyennes américaines de son époque...
Et puis les peintures...
Le tableau de la fin, là encore un joli clin d'oeil avec "Two comedians", un homme et une femme sur une scène de théâtre penchés pour un dernier salut au public…
Mon seul regret est bien évidement la foule omniprésente à cette expo qui doit avoir battu des records de visites. J'ai du m'y reprendre à 4 fois tant la file d'attente pour y accéder m'a rebuté… Aucune fluidité dans la visite, les gens restent des heures devant les oeuvres oubliant par la même occasion leur savoir vivre et visitant cette exposition comme l'on visite un musée, dommage...