- Allemagne : « membres de l’eurozone ayant la responsabilité de leur politique économique, à l’intérieur de règles rigides imposées par le centre. »
- Angleterre : « un marché commun peu contraignant et hautement libéralisé, dans lequel chaque membre décide à sa guise des termes de son appartenance. »
- France : « l’intégration doit inclure des projets communs, portant sur, par exemple, les infrastructures et l’énergie renouvelable, payés par de « nouveaux instruments financiers ». Et l’intégration doit être accompagnée par une plus grande solidarité, dont la garantie de l’emploi et de la formation pour les jeunes, et, oui, des obligations européennes. »
Magazine Société
The Economist contraste les visions françaises (axe du mal),
allemande et anglaise (le bien) de l’avenir de l’Europe.