Objet fétiche : Le Baisenville
Baise-en-ville n.m. invariable – 1934 ; de baiser au sens de ‘posséder sexuellement’ et en ville ‘hors de chez soi’. Familier : petite valise, sac de voyage qui peut contenir ce qu’il faut pour passer la nuit hors de chez soi.
En effet, si aujourd’hui le Baisenville est l’un des exemples de ce que l’on peut trouver comme petit sac masculin, ou sacoche en cuir, à l’origine, il s’agissait bien d’une petite valise, d’un vanity, qui permettait à une dame d’emmener le strict minimum pour la nuit quand elle avait dans l’idée de découcher. Si par exemple vous avez à l’esprit Fenêtre sur Cour d’Hitchcock, vous avez une illustration parfait de ce qu’était le Baisenville lorsque Grace Kelly amène ses petites affaires dans l’idée de passer la nuit chez James Stewart…
Brain Magazine
Un nom évocateur, un concept de féminité masculine et moderne … ça nous trottait dans la tête depuis longtemps, on avait envie de création collaborative, c’est chose faite ! Nous sommes très fières de vous présenter notre Baisenville, premier opus d’une longue lignée de collaborations artistiques et créatives qui signe le lancement notre labortoire collaboratif : Le Co-Lab !
“Le Baisenville” version Les barÖnnettes X Albus Ater quésako ?
S’il n’est plus aujourd’hui qu’un accessoire masculin et qu’il fait parti du romantisme 1900 façon garçonnière, il était temps de le lui redonner un peu de décadence… féminine. Et pourquoi pas ?
Nous l’avons co-créé dans une vision plus moderne du batiffolage, un peu rock (sans pour autant tomber dans les bas fonds !) mais toujours chic. Comme la femme qui le porte, libertine mais coquette, bien dans son temps, dans sa vie…
Une femme imprévisible qui se laisse parfois emporter dans l’effervescence de la nuit, qui croque la vie à pleines dents… Un peu comme vous non ?
Special Thanks à Marie-Flore notre modèle et chanteuse
Notre Baisenville est disponible en deux versions :
- Un de couleur “nude” en agneau plongé Français (à découvrir en détail ici)
- Un de couleur noire en cuir bi-matière de chèvre Français (à découvrir en détail ici)
Il est pliable avec une fermeture zippée, une étiquette en cuir et une doublure intérieure en lin. Il est entièrement fait main, dans l’atelier parisien de Marjorie (Albus Ater) avec des matériaux nobles et robustes ! Un basique bientôt indispensable…
Dimensions dépliées : 24 x 19cm
Photographe : Lucie Sassiat (www.luciesassiat.com)
La collab’
Cette première collaboration est issue de la rencontre avec la marque de maroquinerie Albus Ater et sa créatrice dont nous avions déjà tiré le portrait à (re)découvrir ici. Elle avait tout pour nous plaire : le souci du détail, l’envie d’une création de qualité, une maîtrise de la conception et des petites mains de fées quand il s’agit de coudre les peaux ! Nous avions été bluffées par ses collections d’où notre envie de collaborer sur ce projet.
Le plus, parce que c’est Noël
Toujours dans une volonté d’offrir le meilleur (confection et préciosité), et pour les fêtes, nous collaborons également avec une doreuse professionnelle afin de pouvoir faire inscrire vos initiales ou celles que vous désirerez sur le Baisenville. La dorure est faite avec des feuilles d’or rose ou jaune, selon vos bons désirs, fait mains également par la douce Lucie Monin qui travaille sur la personnalisation des pièces d’art ou de la maroquinerie de luxe.
Détails de vente
Le prix du Baisenville sans dorure est de 75 euros, un supplément de 20 euros est demandé pour la dorure. Attention ! Si vous souhaitez recevoir le Baisenville avec dorure avant les fêtes, il faut passer commande entre le 14 et le 19 décembre.
>>> Nos Baisenvilles sont en vente sur le site BIGCARTEL ICI <<<
>> Retrouvez toutes les photos du shooting Les barÖnnettes x Albus Ater sur notre page Facebook !
Bonnes fêtes de fin d’année !
…With love
From Les barÖnnettes