L’évidence en tout et partout,
Combien pourtant doutent de sa bienfaisance,
Voire de son existence,
Quand esclaves des doutes,
Leur réalité est telle une terre vierge de toute fertilité,
Incapables de saisir les si nombreux signes de l’espérance,
L’oeuvre de vie s’offre à qui sait lui accorder toute la confiance de ses sens,
Ne se savent-ils enfants de l’amour,
Qu’ils s’ouvrent aux vérités de leur coeur,
Le bonheur les attend de toute son éternelle patience,
O combien s’en voudront-ils de tout ce temps accordé à l’ignorance,
L’évidence alors,enfin resplendissante en leur être tout de joie retrouvée.