Mais durant tout le temps ou nous lisions scrupuleusement la carte des menus rédigé main, nous ne savions plus où donner… du nez : les odeurs de vieux chlore et de choux-fleurs émanés de la "cuisine" laissaient quelque peu imaginer l’hygiène douteuse de l’endroit ; sans compter les toilettes malodorantes et sales, dépourvu de papier toilette. Ici, on est loin des cabinets aseptisés de Tokyo. Très loin même.
Nos menus commandés, nous attendions d’être servi… baignés d’effluves pernicieusement empestées.