Ne pleure pas les rythmes qui, apparemment, se perdent: rythmes des vents, des eaux, du frémissement des arbres, du chant des oiseaux, du mouvement des astres, du pas des hommes… Il y a toujours un musicien ou un poète, ou un saint, ou un fou, chargé par Dieu de capter les rythmes errants qui risquent de se perdre.
Dom Helder Camara, Mille raisons pour vivre (Desclée de Brouwer, 1989)
image: Nabile Chajai par Gerd Janzen (myspace.com)