il

Par Plouf
longiligne et fin, le sourire figé,
il se tient penché, et par delà la digue,
regarde l'horizon! si loin,par habitude
ne laissant rien paraitre,et,geste machinal
il étend le sable accumulé dans la paume de sa main.
longtemps il est resté:  j'ai attendu en vain!
une odeur poivrée, une autre latitude
mais choisir de souffrir ,ainsi, au demeurant
bah , il se laisse aller à cette solitude
il sourit et se gausse des effets du vent!