La provision des services essentiels aux nouveaux arrivants est une question important dans la débat linguistique au pays. Est-ce qu'un état unilingue, comme le Québec, doit fournir services dans la langue anglaise pour la communauté native qui fait une partie intégral de société québécois? Absolument. Mais est-ce que les immigrants non-francisés ont un droit aux services dans la langue de Shakespeare?
Il est dit que presque 3/4 des immigrants non-francisés utilisent les services en anglais, plutôt que français, même s'ils ont une connaissance basique de la langue. Apparemment, les immigrants allophones préfèrent l'anglais en public. Problématique?
Selon un immortel de l'Office Québécois de la langue française, non. Les services fournis en anglais sont pas un détriment a l'intégration des immigrants. À même temps, le gouvernement veut finir les communiqués en anglais avec les immigrantes, même s'ils veulent être servis en anglais. Donc, Mais on doit se questionner pourquoi l'anglais est préféré incroyablement par les immigrants non-francisés?
Si on favorise l'intégration des immigrants à société collective, et la langue est le premier but pour ce plan, est-ce que l'état québécois doit encourager l'utilisation de français parmi les nouveaux immigrants, dans toutes les domaines de vie, et est-ce que cela inclut les services sociaux et soins de santé? Doit-ils forcer les nouveaux arrivants à utiliser les services en français. Est-ce que l'anglais menace le français en matière de cet enjeu?