Au début, Julia Wertz m’apparaissait comme une authentique loser et ça m’agaçait. Son journal de bord ne montrait en apparence qu’une fille semblant se complaire dans sa petite vie misérable au milieu d’une ville que j’adore. Puis elle a fini par m’avoir à petites doses d’absurdités et de remarques sympathiques sur son quotidien et son entourage. L’humour noir/trash de Julia Wertz est tout à fait délicieux et est adouci par un dessin simple et naïf.
Whiskey & New-York est assûrément l’un de mes coups de coeur bédéistique des derniers mois. Merci (encore une fois) aux experts chez Phylactère pour l’excellente suggestion!