« C’est vrai, j’ai un profil atypique. Je ne vais pas dribbler dix adversaires. Mais je ne vais rien inventer en disant qu’en Bleu on n’a pas vraiment le temps de travailler, de peaufiner les réglages. Quand je suis arrivé à Arsenal, il y a eu des soucis aussi, mais ils ont rapidement été réglés. Et aujourd’hui, les joueurs d’Arsenal ont compris ou savent qu’en s’appuyant sur moi ils pourront marquer », explique-t-il.
Désormais bien installé dans l’équipe londonienne, il reconnaît avoir douté pendant le mercato, période pendant laquelle les médias locaux annonçaient beaucoup d’arrivées à son poste : « Oui, d’Huntelaar, mais aussi David Villa. La presse anglaise en a beaucoup parlé. Le coach (Arsène Wenger) n’est pas vraiment favorable au marché hivernal. Ce serait hypocrite de dire que je n’y ai pas pensé. Après, j’ai toujours cru que le coach me laisserait du temps, je ne le voyais donc pas me couper l’herbe sous le pied » a-t-il ajouté.